Dimanche 10 février
Pour ces gens il n’est pas
question que nous les quittions si tôt et ils nous invitent à manger un tajine
ce midi. Nous acceptons ce tajine accompagné d’une salade marocaine (gare à la
tourista…). Le plus difficile s’est de s’assoir en tailleur et surtout de s’en
relever.
A table !!!!! |
Devant leur insistance il n’est pas possible
de partir, l’après midi ils veulent
absolument que nous allions voir la mère qui broie des noix d’arganiers pour
faire de l’huile. Il fait une chaleur saharienne 35° qui nous pèse car nous
avons à marcher un peu pour nous y rendre.
Le soir la fille fait en notre honneur un couscous, attention les kilos !!!!
nous faisons une seconde nuit sur place.
la cuisine |
Lundi 12 février
Ce matin malgré leurs désirs
nous quittons cette famille très ou trop accueillante avec de beaux souvenirs et
nous nous dirigeons en direction de Tafraout. La route est belle et nous
parcourons les premiers contreforts de l’atlas ce qui tranche avec les bords de
mer jusqu’à présents fréquentés. Les montagnes semblent peignées avec un grand
peigne et cela donne de magnifiques dessins en fonction de l’éclairage.
Le route est belle seuls les
derniers kilomètres sont à une voie et demie mais en suivant un camion celui-ci
nous à facilité les croisements. Nous arrivons en fin d’après midi et nous nous
installons à Tazeka petit village à un kilomètre de Tafraout
Mardi 13 février
Mercredi 14 février
Jeudi 15 février
Depuis 10 ans que jeannette
et Yves viennent ici ils connaissent tous les gens du village et nous peut-être
un peu moins, donc nous ne sommes pas perdus.
Dans cette région les femmes
s’enroulent 3 fois dans un tissu noir qui cache tout. Il est bordé d’un galon
brillant pour les femmes mariées et d’un mat pour les célibataires. Je ne
peux pas vous joindre une photos car il est impossible d’avoir l’autorisation
de les prendre, dommage. Par contre les hommes sont vêtus de la djelabah bleue
et du turban noir qui fait un bel effet.
Nous retrouvons aussi notre
fabriquant de babouche, c’est la spécialité de la ville, et nous en faisons
provision.
Vive la babouche....
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